Daniel Hourès soutient Ahmed Eddarraz candidat pour la 9e circonscription des Français de l’étranger !
Mai. 2022 \\ Par Dimitri Ferreira

Coup de tonnerre sur la scène politique des Français établis au Maroc ! Daniel Hourès, figure emblématique de la droite et proche de Nicolas Sarkozy, a décidé d'apporter son soutien à Ahmed Eddarraz (LREM) dans l'optique des élections législatives de la 9e circonscription des Français de l'étranger.
Militant et responsable UMP puis LR, depuis plus d’une vingtaine d’années, Daniel Hourès y a exercé de nombreuses responsabilités ainsi que dans diverses associations (Club 41, Lions Club, etc.) au Maroc en général et à Marrakech en particulier. "J’ai toujours voté à droite" précise-t-il. "J’ai soutenu Nicolas Sarkozy et je reconnais en lui un véritable homme d’État. Mais, Ahmed Eddarraz m’a persuadé de le suivre, tout en me laissant ma liberté."
Les deux hommes ont décidé d'unir leurs forces. "J’ai accepté d’être le suppléant d'Ahmed Eddarraz qui est membre fondateur de La République En Marche et qui a toujours témoigné d'une belle fidélité au Président de la République" confirme Daniel Hourès, écrivain et éditeur. "Comme de nombreux Français, Ahmed a gravi les échelles de la société. Il a n’a pas bénéficié de l’ascenseur social, il a gravi une par une les marches lui permettant de s’élever socialement et culturellement. Son charisme, son parcours, sa vision de la France, ses idées novatrices, son implication citoyenne, son humanisme, sa tolérance m’ont convaincu."
La candidature d'Ahmed Eddarraz dépasse les mécanismes claniques et les enjeux partisans. C'est une candidature de rassemblement. "Ahmed Eddaraz est le seul démocrate crédible de tous les candidats de la 9e circonscription des Français de l’étranger" assure Daniel Hourès. "Ahmed sera à l’écoute et au service de toutes et de tous. Au-delà des clivages politiques, les Français ont besoin d’un homme qui les comprend, qui parle comme eux, qui ne fuit pas les difficultés, qui ne se voile pas les yeux face aux problèmes du pouvoir d’achat, à l’aggravation du climat de défiance et au scepticisme envers les partis."